L'éveil du TDAH

Jean-Baptiste Alexanian : L'interview complète

Pouvez-vous vous présenter s'il vous plaît ?

Jean-baptiste Alexanian :

Je suis psychiatre, donc je suis médecin, et comme tous les psychiatres, on a fait un parcours de médecines classiques pendant six ans, pour ensuite choisir une spécialité. J’ai choisi la spécialité psychiatrie, et donc je suis psychiatre.

En France, les psychiatres peuvent consulter les enfants et les adultes. Certains se spécialisent en pédopsychiatrie ce qui n’est pas mon cas, moi, je consulte les enfants et les adultes, mais je n’ai pas passé le D.E.S.C. de pédopsychiatrie, mais effectivement, c’est à peu près 50 à 60 % de mon activité.

En quoi consiste votre métier de psychiatre principalement ?

Jean-baptiste Alexanian :

Mon métier de psychiatre en libéral consiste à recevoir des gens qui ont besoin de quelque chose qui semble correspondre au travail du psychiatre, donc c’est extrêmement large.

Il faut y aller sans a priori, en partant de ses besoins, de ses ressentis et si l’on considère qu’il y a quelque chose qui ne va pas et qui est de l’ordre du psychisme, il faut dans ce cas-là en parler à son médecin traitant. On peut venir directement voir le psychiatre, mais je conseille quand même d’aller voir le médecin traitant qui est le médecin qui coordonne les soins en France. Surtout que l’essentiel des troubles psychiatriques peuvent être pris en charge par le médecin traitant et de manière tout à fait satisfaisante. Parfois, on a besoin du spécialiste pour certaines choses particulières, parfois, ils considèrent qu’il faut passer la main et c’est à ça qu’on reconnaît un bon médecin en général quelle que soit sa spécialité.

Donc moi, ce que je conseille aux gens, c’est d’abord d’aller voir leur médecin traitant, d’expliquer leurs problèmes, de ne pas hésiter à le dire. Il n’y a aucune honte, nous c’est notre job, on écoute les gens, il n’y a pas de jugement. Et après, soit le médecin traitant se sent capable et il le fait, soit il oriente.

Pour répondre à ta question, en tant que psychiatre, je reçois en grande majorité des gens qui souffrent de troubles anxieux ou de dépression, la dépression qui est aussi une sorte de conséquence d’un trouble anxieux qui n’a pas été pris en charge. C’est malheureusement assez fréquent chez les gens anxieux la dépression.

Je reçois aussi de par mon activité beaucoup de personnes avec un TDAH, notamment parce que je vois beaucoup d’enfants, et donc le TDAH est le deuxième trouble le plus fréquent chez l’enfant derrière le trouble anxieux, et c’est donc logique que je reçoive beaucoup de personnes avec un TDAH et des troubles anxieux.

Comme je suis libéral, il y a un biais de recrutement qui fait que j’ai finalement assez peu de patients souffrant de schizophrénie, j’en ai quelques-uns mais c’est rare, et j’ai un petit peu de patients souffrant de troubles bipolaires mais nettement moins qu’à l’hôpital. J’ai eu une activité hospitalière pendant quelques années, et ce n’est pas du tout le même recrutement de patients.

Un psychiatre en libéral, un psychiatre de campagne comme moi est amené à voir des gens de 3 ans à 300 ans, et essentiellement des personnes avec des troubles anxieux, une dépression, éventuellement un TDAH, le TDAH qui est aussi un trouble fréquent chez l’adulte, c’est quasiment 5 % des adultes, quand on le compare par exemple aux trouble du spectre de l’autisme, aux troubles bipolaires ou à la schizophrénie, c’est beaucoup plus fréquent que ces troubles-là, d’on on parle pourtant énormément, et on parle très peu du TDAH à tort et malheureusement ça ne permet pas aux gens d’accéder aux soins.

Donc, vous nous avez dit donc que vous exercez également dans un hôpital, quel est votre rôle dans cet hôpital ?

Jean-baptiste Alexanian :

Alors moi je suis attaché dans cet hôpital, j’ai une consultation qui est spécialisé dans le TDAH enfants et adultes.

D’autre part, je reçois les personnes qui sont par exemple aux urgences, quand elles ne vont pas bien, on m’adresse les patients pour je les vois en urgence, je reçois aussi les patients qui sont dans les lits d’hospitalisation, qui sont au service de médecine par exemple, qui sont là pour tout autre chose mais qui, par exemple présentent des troubles psychiques. On fait essentiellement en termes de recrutement de la Gérontopsychiatrie, c’est-à-dire la psychiatrie des personnes âgées, parce qu’il y a un biais de recrutement qui fait que les gens à l’hôpital et en service de médecine en général, sont plutôt des gens âgés, donc ça me change quand même pas mal de mon activité libérale.

Vous avez créé, il y a environ deux ans votre chaîne YouTube, pouvez-vous nous en dire plus ?

Jean-baptiste Alexanian :

C’est une chaîne YouTube qui a été créée avec l’association Fou de Normandie.

L’association Fou de Normandie a pour but de vulgariser les connaissances en psychiatrie pour faire en sorte que les gens puissent avoir accès à des informations de première qualité. L’idée, c’était de diffuser au maximum ces informations scientifiques, ainsi que ces informations de sensibilisation aux troubles psychiques et un des médias qui permet de toucher le plus grand nombre de personnes, c’est YouTube.

On a aussi une page Facebook fou de Normandie, j’invite toutes les personnes qui regardent la vidéo à rejoindre cette association. Il y a beaucoup de contenu autre que les vidéos, ainsi que de l’entraide.

L’année 2019 aura été pour vous une année de diversification, vous avez créé votre chaîne YouTube, vous avez également participé à pas mal de conférence !

Jean-baptiste Alexanian :

Alors la chaîne date de 2018, et les conférences, j’en fais depuis des années, mais effectivement, tu as raison je suis en ce moment beaucoup demandé, j’ai été beaucoup plus demandé cette année, je suis obligé de refuser régulièrement, malheureusement des interventions.

Donc moi lorsqu’on me demande de venir, je viens, pour les associations, je le fais entièrement gratuitement. Quand c’est très loin on me paye l’hôtel quand même, mais on ne me paye pas le trajet, par exemple quand je viens en voiture j’y vais à mes frais, donc ça me coûte, parce que pendant ce temps-là je ne travaille pas mais bon comme c’est des associations je n’ai pas envie de leur demander des sous donc voilà quand il y a besoin je le fais avec beaucoup de plaisir !

Dans ces conférences, vous êtes intervenue récemment aux côtés de grands spécialistes du trouble de l'attention, ça doit être un véritable honneur pour vous ?

Jean-baptiste Alexanian :

Ça, c’est très clair ! Honneur c’est vraiment le bon mot, franchement je ne m’’attendais pas un jour à être aux côtés du professeur Barclay par exemple, qui est un grand spécialiste du TDAH s’il en est, c’était assez exceptionnel à Lyon avec l’association TDAH partout pareil qui est une super association, c’était vraiment formidable il y avait aussi Samuele Cortesse, il y avait aussi Sébastien Henrard, on était tous très contents d’être là, le professeur Barclay est un homme délicieux, comme je le dis dans une vidéo c’est un lord anglais mais américain, un homme de 79 ans avec une élégance rare, beaucoup de style, beaucoup de bienveillance, avec un respect des personnes qui se sont déplacé pour le voir qui était formidable donc oui c’est un bel honneur.

Et donc vous êtes vraiment spécialisés dans le trouble de l'attention ?

Jean-baptiste Alexanian :

Je ne crois pas qu’on puisse dire que je suis spécialisé au sens le plus strict du terme parce que quelqu’un qui est vraiment spécialisé dans le domaine il ne fait que ça. Moi, je suis un psychiatre de campagne, je ne suis pas un psychiatre de grandes villes, je réponds aux demandes des gens.

Alors encore une fois en France malheureusement le TDAH est assez méconnu. Toutes les statistiques le disent, le diagnostic du TDAH en France est trop faible par rapport à ce que voudrait le hasard. C’est à dire qu’en France, comme dans tous les autres pays du monde, il y a 5 à 8% d’enfants avec un TDAH et 3 à 5% d’adultes avec un TDAH, et c’est le pays développé qui diagnostic le moins, qui prescrit le moins, et qui forme le moins les docteurs sur ce domaine. Donc c’est sûr que lorsqu’on est formé normalement à ce domaine, on passe pour un spécialiste.

Mais en tous cas, tous les docteurs en France sont habilités à faire le diagnostic du TDAH. Il n’y a pas besoin d’aller voir un spécialiste pour cela, tous les docteurs sont présumé compétents dans le domaine, et s’ils se considèrent pas à l’aise parce qu’ils ont une formation qui date un petit peu, parce qu’ils ne se sont pas mis à jour, ou parce qu’on ne peut pas être spécialiste dans tout entre guillemets, on ne peut pas tout connaître parfaitement, eh bien ils peuvent se former sans problème et ils seront tout aussi compétents que n’importe qui d’autre, et puis ils peuvent aussi adressé dans ce cas-là si on ne se sent pas à l’aise.  Moi quand je ne me sens pas à l’aise sur une prise en charge, j’adresse à quelqu’un d’autres. Il n’y a pas de souci avec ça.

Donc moi officiellement, je ne suis pas plus spécialisé qu’un autre dans le TDAH, simplement, je m’en occupe parce que ça fait partie de mon métier.

Pour les nouvelles personnes qui arrivent sur cette chaîne et qui ne connaissent pas encore bien ce qu’est le trouble de l'attention, pouvez-vous nous définir en quelques mots ce qu’est le TDAH ?

Jean-baptiste Alexanian :

Donc le terme officiel, c’est « trouble de déficit attentionnel slash hyperactivité », ADHD en anglais.

C’est un terme qui n’est pas terrible, parce qu’il ne décrit pas vraiment bien les choses. Il y a l’idée de l’attention, il y a l’idée de l’hyperactivité, donc ce n’est déjà pas trop mal, mais on peut être très inattentif et très hyperactif sans avoir de TDAH. Il faut faire attention parce qu’un enfant qui est très anxieux par exemple peut présenter une symptomatologie d’hyperactivité et de trouble attentionnel sans pour autant avoir un TDAH au sens strict du terme.

Le TDAH, si je devais le définir simplement, je dirais que c’est l’association d’un défaut d’inhibition, c’est à dire je n’arrive pas à m’empêcher de (de bouger partout, d’écouter à droite à gauche, de voir les mouches qui volent), donc je suis distractible, je suis impulsif, et particulièrement dans certaines circonstances. C’est un déficit attentionnel qui est circonstanciel, c’est-à-dire qu’il dépend des circonstances. Un enfant qui a un TDAH peut se concentrer pendant des heures sur un truc qu’il aime bien. Et donc c’est pour ça que le terme de déficit attentionnel est problématique, parce qu’on s’attend à avoir un gamin qui va tout le temps être inattentif ou qui va tout le temps être hyperactif, mais c’est pas du tout vrai. C’est une modalité de mobilisation de ses capacités attentionnelles variable en fonction du contexte. Donc, pour parler simplement, si j’aime un truc, et si je ne suis pas stressé, je vais être capable de me concentrer et de ne pas bouger pendant des heures. Par contre, si je n’aime pas quelque chose, ou si je suis stressé, et bien là, je vais avoir du mal à me concentrer et à me poser, je vais éventuellement gigoter, voir bouger, voire être hyperactif.

J’avais fait une petite vidéo sur ma chaîne, pour essayer de renommer le TDAH en essayant de trouver un autre terme. Et il y avait une personne qui s’appelle Nathalie, qui avait trouvé le « DAC » : déficit attentionnel circonstanciel, ce qui n’est pas trop mal.

Alors attention, il faut aussi comprendre que tout le monde est comme ça. Tout le monde n’est pas concentré et gigote un peu plus quand n’y a pas de plaisir, où quand il y a du stress. Donc la question du TDAH, c’est une question de seuil. À partir de quel moment ça devient handicapant, à partir de quel moment est-on sur un individu qui a une propension franchement pathologique à être distrait et impulsif dans ce type de circonstances. Donc ce n’est pas parce qu’on rentre dans les critères en termes de symptômes du TDAH, qu’on a un TDAH. Il faut avoir un autre critère, qui est très important et qui est dans le DSM (dans le petit bouquin de classification des maladies américain), et qui est aussi évidemment dans la CIM (qui est la classification internationale des maladies), bref, tout le monde s’accorde pour dire qu’avoir des symptômes c’est une chose, mais pour retenir le diagnostic il faut en souffrir, être handicapé par ça, avoir un vrai problème à cause de ça. Il faut avoir des vraies difficultés particulières dans ce domaine-là, parce que sinon tout le monde est comme ça.

Oui, donc on a vu que le trouble de l'attention n'était pas juste un déficit attentionnel, c'est bien plus vaste que ça, mais beaucoup de personnes présentes le trouble de l'attention comme étant un fardeau, qu’en pensez-vous ?

Jean-baptiste Alexanian :

Alors, il faut être clair. Si on retient le diagnostic de TDAH, c’est forcément plus un handicap qu’un avantage. Puisque si ce n’est pas un handicap, on ne retient pas le diagnostic. Vous pouvez avoir tous les critères du TDAH, si vous n’en souffrez pas, et que c’est un avantage pour vous, vous n’avez pas de TDAH. Par exemple, si vous êtes chasseur, photographe, ou si vous êtes dans un milieu qui nécessite d’être facilement distrait et impulsif, ce sera un avantage dans votre vie. Si vous vivez en plus dans la nature, que vous n’avez pas d’enfants qui crient partout, et que vous avez finalement un mode de vie extrêmement proche des chasseurs-cueilleurs, le TDAH sera un avantage. Mais dans ce cas, ça ne sera pas un TDAH. Ce sera tout pareil qu’un TDAH, sans le trouble.

Donc si on parle de trouble, c’est qu’il y a un problème handicapant. Mais effectivement la notion que tu essaies d’introduire, c’est que le fonctionnement biologique de ce qu’on appelle aujourd’hui le TDAH n’est pas intrinsèquement pathologique. Il n’est pas en lui-même problématique. Le fait d’être distrait et impulsif facilement, ça fait de vous un excellent chasseur, ça fait de vous un excellent mercenaire, ça fait de vous un excellent photographe, et il y a pleins d’autres professions où c’est important d’être hyper réactif et hyper impulsif.

Mais effectivement, le fonctionnement qu’il y a derrière le TDAH peut vraiment être un avantage dans certaines circonstances, sans aucun doute. Et c’est pour ça que pullulent sur Internet des listes de personnes disant qu’elles ont un TDAH, et qu’ont parfaitement réussi dans la vie, voire même qu’ont fait plus que réussir, qu’ont apporté à l’humanité des choses formidables, donc voilà, le fonctionnement en lui-même n’est pas intrinsèquement pathologique.

D'après vous quel est la clé pour qu'une personne qui a un trouble de l'attention puisse réellement s'épanouir dans sa vie ?

Jean-baptiste Alexanian :

C’est une très bonne question, ça dépend essentiellement de l’environnement dans lequel il évolue. Encore une fois, je prends souvent cet exemple. Si vous prenez la même personne, mais que vous l’élever au Masai Mara chez les Masaïs en Afrique, qui est un peuple qui vit vraiment de manière tribales, qui chasse, qui cueille, qui part à la chasse au lion, (d’ailleurs, ils sont connus pour ça) eh bien avec cette même biologie très « pro TDAH » entre guillemets, vous n’aurez jamais de TDAH, parce que vous irez très bien, et vous aurez une vie épanouie. Et cette même biologie, la même personne, vous l’élever en France, dans une école qui vous dit de rester assis pendant des heures, et d’écouter une dame ou un monsieur qui vous explique qu’il y a deux « p » à « appelé », et que si vous ne savez pas qu’il y a deux « p » à « appeler » vous êtes un débile, bon bah là ça va être très handicapant car vous allez avoir envie de faire autre chose que de rester assis sur une chaise, pour qu’on vous explique à quel point il est important de connaître l’orthographe et ses tables de multiplication par cœur. Apprendre à compter d’accord, apprendre à lire et à écrire pourquoi pas, mais les détails inconséquents, comme par exemple l’orthographe qui est rarement pertinent, pour une personne qui a un TDAH c’est très dur de devoir apprendre par cœur des choses comme ça. Alors qu’au Masai Mara, la même personne ne sera pas du tout TDAH.

Donc pour répondre à votre, question, parce que la question c’est comment on fait en France, alors en France, c’est dur. D’abord, quand on est enfant il faut absolument favoriser les aménagements scolaires, puisque l’école peut être un des problèmes des gens qu’ont un TDAH, mais je rappelle quand même qu’il y a des personnes qui ont un TDAH et qui vont très bien à l’école, parce qu’ils aiment ça, parce qu’ils tombent sur des profs qu’ils aiment, parce que leur prof leurs donne des récompenses régulièrement, et dans ce cas-là ça va tout à fait dans leurs fonctionnement, et ils peuvent être excellents à l’école, et ne jamais avoir de problème là-dessus. Mais ça malheureusement, c’est une minorité parce que le système scolaire n’est pas tout à fait pensé dans l’idée de l’épanouissement de l’enfant, il est pensé malheureusement sur la performance scolaire, d’ailleurs on voit que ça ne marche pas dans les classements internationaux, mais ça ne marche pas parce que l’orientation en termes de performances scolaires, si elle ne prend pas en compte l’épanouissement de l’enfant ça ne marche pas. Toutes les études montrent que si vous prenez du plaisir à apprendre quelque chose, vous allez beaucoup mieux le retenir. Et ça, c’est valable pour tout le monde, mais pour les TDAH encore plus, car il a été montré que les gens avec un TDAH, ont une particularité au niveau du circuit de la récompense, (le circuit de la récompense, c’est ce qui est impliquer dans les addictions, etc.) ils ont besoin de récompenses rapide, immédiate et fréquente. Et si vous les prenez comme ça, vous en tirer beaucoup plus que si vous voulez punissez par exemple. Et donc le système n’est pas orienté pour ça. Sachant que, de toute façon, de manière générale, la récompense est toujours plus efficace que la punition (et c’est valable pour tout le monde). Mais on est dans un système qui n’est pas tout à fait orienté là-dedans.

Donc, en France, il faut des aménagements, il faut parfois des traitements, et puis une fois adulte, l’idée, c’est de trouver un épanouissement personnel, donc de chercher « où est mon plaisir ? », et « où va mon plaisir ? ». Et quand on a trouvé ça, il faut se demander « comment puis-je faire pour vivre avec le maximum de temps possible dans ce plaisir-là, et avec le minimum de contraintes qui m’insupporte ». Et ça, c’est vraiment fondamental, l’idée, c’est de s’organiser une vie qui correspond à son mode de fonctionnement, et qui correspond à ses plaisirs. Mais ça, finalement, c’est valable pour tout le monde, et encore plus pour les TDAH.

Auriez-vous des projets à venir dont vous souhaiteriez nous faire pas sur cette chaîne ?

Jean-baptiste Alexanian :

On vient de passer les 10 000 abonnés sur la chaîne YouTube, merci à toutes les personnes qui s’abonnent, c’est vraiment très gentil ça me fait plaisir que ça nous pousse à continuer !

Il y a plein de conférences qui sont prévues cette année, j’en ai notamment une qui va être sympa en Belgique, si vous voulez savoir les dates des conférences allez sur ma page Facebook, même si tout n’est pas à jour.

À part les conférences, il va y avoir pleins de nouvelles vidéos, il y a au moins trois vidéos par semaine qui sortent sur la chaîne.

Nous arrivons à la fin de cet article, j’espère que vous aurez trouvé les réponses à vos questions. 

Je vous invite à cliquer ici pour retrouver le docteur Jean-Baptiste Alexanian sur sa chaîne YouTube.

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Je m'appelle Arthur Jasinski, je suis un jeune étudiant et entrepreneur de 19 ans ayant un trouble de l'attention. J'ai créé ce blog pour partager les actions que j'ai mises en place ainsi que les techniques qui ont changé ma vie. L'objectif que je me suis fixé est d'accompagner les personnes ayant tout comme moi un trouble de l'attention pour les aider à s’épanouir dans leur vie.

Qui suis-je ?

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